Par le passé, pour garder un souvenir de leur prise, les pêcheurs japonais réalisaient une empreinte du poisson à l'encre de chine sur un papier à base de fibre de murier ou de fibre de riz. Aujourd'hui encore, cet art (le gyotaku) est pratiqué. Il permet de conserver de jolies images de poisson. Voici la dernière production maison, un gyotaku en couleur (ou ichtyogramme) de perche commune.
Avec ces pluies incessantes de juillet, l'heure est aux travaux manuels .
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